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Posted on 22 mars 2022 by Gessica Franco Carlevero in La Bibliothèque
italienne

Avec en arrière-plan une ville de Rome silencieuse et émouvante, Elfriede Gaeng nous propose un roman où alternent rebondissements, passions et crimes, sans jamais affaiblir le pouvoir salvateur de la beauté.
Dans ce nouveau roman surprenant et extraordinaire publié chez Carabba, Elfriede Gaeng nous entraîne au cœur de la ville éternelle, dans les couloirs de l’Accademia di San Luca, dans la pénombre des églises, à la recherche d’indices capables d’éclaircir les zones d’ombre qui entourent le travail du grand Raffaello. Ugo Zardi pense que ce dernier est le peintre parfait, seul capable, par sa grâce, sa justesse divine et sa capacité, de sublimer le réel, de rendre à la peinture sa pureté originelle. Persuadé que cette perfection ne peut pas se répéter dans le temps et enragé par un marché de l’art asservissant les génies à l’argent, Zardi laisse alors sa pensée s’échapper dans un rêve aussi fou que cynique. Son pari – hasardeux et sans empathie – sera celui de donner vie à l’artiste dont il a besoin pour accomplir son rêve. Et cela à tout prix.
Avec en arrière-plan une ville de Rome silencieuse et émouvante, Elfriede Gaeng nous propose un roman où alternent rebondissements, passions et crimes, sans jamais affaiblir le pouvoir salvateur de la beauté.